Dorothée Goupil : diplômée en 2003

Lors de son stage de deuxième année de master, Dorothée a assumé des missions de traduction, de terminologie et de relecture, ce qui a influencé son parcours professionnel.

À la sortie du master, elle a travaillé quelque temps dans une entreprise avant de se lancer à son compte. Depuis son entrée dans la vie active, son métier a évolué. Elle a débuté en tant que relectrice avec une petite part de traduction et est actuellement traductrice notamment dans le domaine de la propriété industrielle.

Elle apprécie la polyvalence et l’autonomie de son métier. En revanche, elle déplore le manque de protection du statut de profession libérale.

Elle conseille aux futurs traducteurs de se spécialiser dans un domaine pour sortir du lot.

Clément : diplômé en 2018

Clément s’est installé en tant que traducteur indépendant en 2019, six mois après l’obtention de son diplôme et exerce la même activité à ce jour. Ses missions principales incluent la traduction, la révision et la post-édition. Il est satisfait d’avoir persévéré dans le domaine de la traduction, de ses conditions de travail et des collaborations enrichissantes qu’il a eu avec divers clients. Il souhaite maintenant se spécialiser en suivant une formation complémentaire qu’il pourrait mettre au service de ses traductions pour ses clients actuels et futurs.

Selon lui, les points positifs du métier sont la variété des sujets, la relation client, la flexibilité de l’organisation, la possibilité de travailler de n’importe où. En revanche, l’insécurité de son activité et le temps consacré à la prospection lui déplaisent.

Debora Pirone : diplômée en 2022

Au cours de son stage de dernière année, Debora a effectué de la gestion de projets et de la publication assistée par ordinateur (PAO). En décembre 2022, Débora a créé son auto-entreprise.

En tant que cheffe de projet, elle assume le rôle d’intermédiaire entre les clients et les prestataires. Ses missions principales incluent la réception des demandes des clients, la réalisation de devis, la préparation des fichiers, un contrôle qualité des traductions, de la PAO et ponctuellement de la traduction. Depuis le lancement de son activité, elle a remarqué une augmentation des demandes en post-édition.

Elle apprécie la diversité et la complexité des projets qu’elle mène à bien ainsi que la satisfaction des clients lors de leur livraison. En revanche, elle apprécie moins la partie administrative du métier et les échanges qui sont parfois longs et difficiles.

Son conseil pour lancer son auto-entreprise ? Faire beaucoup de prospection et faire preuve de détermination.

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